1 vue Fiche objet musée : 88.13.430 Lieu : Bourg-en-Bresse (Ain, France), Bresse Auteur : Jacquemin, Robert Datation : 1988 Matière / technique : Or, Argent, émail Dimensions : H en cm : 4,2, larg. en cm : 2,6, Ep. en cm : 0,4 Description : Croix montée sur pendentif, formée de 5 émaux de forme ovale et 1 rond, fond bleu avec au centre une rosace rouge. Cette petite croix au décor simple, n'a ni perles opales, ni chatons de pierre fine. |
1 vue Fiche objet musée : 88.13.424 Lieu : Bresse, Bresse Datation : 1780-1800, 1780-1800 Matière / technique : Or, Argent, émail, Verre Dimensions : Long. en cm : 39,5, larg. en cm : 2,4, larg. en cm : 4,8 Dénomination : Esclavage Description : Collier d'esclavage composé de 3 chaînes jaserons. Fermoir rectangulaire. Les plaques latérales ainsi que celle centrale comportent toutes un cabochon rouge ou vert. Sur la plaque centrale une rosace avec pourtour de perles blanches. |
Plaque émaillée non montée 1 vue Fiche objet musée : 88.13.359 Lieu : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Auteur : Atelier Decourcelles Amédée Datation : 1891-1900 Matière / technique : Argent, émail, Or, Verre Dimensions : H en cm : 1,9, larg. en cm : 1,8, Ep. en cm : 0,6 Description : Plaque émaillée en forme de coeur. Fond rouge avec une rangée de perles d'émail blanc sur le pourtour. Rosace (or, blanc et vert) avec pierre rouge-rose au centre. Décor de paillons d'or et de points d'émail vert sur le reste de la plaque. |
Plaque émaillée non montée 1 vue Fiche objet musée : 88.13.09 Lieu : Bourg-en-Bresse (Ain, France), Bresse Auteur : Atelier Decourcelles Amédée Datation : 1870-1900 Matière / technique : Argent, émail, Or, Verre Dimensions : H en cm : 3,3, larg. en cm : 3,2, Ep. en cm : 0,6 Description : Plaque émaillée en forme de coeur, fond orangé, rosace centrale avec points verts, rangée de perles sur le pourtour. |
15 vues Fiche édifice : 116 Commune : Neuville-les-Dames (Ain, France) Rédacteur de la notice : vigier thierry Type : Eglise paroissiale Architecte : Ferret Antoine (Tony) Autres intervenants : Mandy André Antoine (entrepreneur), Bégule Lucien (peintre-verrier), Perrusson et Desfontaines (céramistes) Fonction : Ce bâtiment a une fonction cultuelle, utilisé pour tous les offices religieux, et culturelle lors de concerts et autres manifestations (visites commentées du bâtiment, des vitraux, des céramiques) en complémentarité du patrimoine du village. La crypte sert de lieu de culte, l'hiver. Il existe trois salles de réunions pour différentes activités : chorale, atelier rénovation des statues, et une chaufferie. Datation : 1889,4e quart 19e siècle Description : Eglise de style néo-roman, orientée est/ouest, construite en partie sur une crypte pour compenser le dénivelé du terrain. Des pierres d'origine différente constituent cet édifice en croix latine avec transept inscrit. Une nef centrale, deux nefs latérales et trois tourelles complètent cette construction, ainsi qu'un clocher porche comportant deux horloges en céramique Perrusson et Desfontaines. De plus, 96 céramiques proviennent de la même fabrique et 18 vitraux de Lucien Bégule ornent cet édifice. Dans la crypte, 3 vitraux contemporains de 1983 ont été réalisés par le peintre verrier Claude Baillon. Précisions sur les dimensions de l'église : hauteur à l'avant = 15,70 m hors clocher, à l'arrière 22 m ; hauteur à l'intérieur du transept = 11,70 m, nef centrale = 12,70 m, nef latérale = 7,70 m, chœur = 11,70 m. L'abside présente un diamètre de 7 m. Matériaux gros oeuvre : Pierre non taillée,Pierre taillée,Métal,Brique,Bois Matériaux ouvertures : Pierre non taillée,Pierre taillée Matériaux couvertures : Tuile plate,Ardoise Particularités : Les éléments en céramique sont : les deux horloges, les fleurs de lys et 28 métopes pour l'extérieur ; 68 métopes et rosaces et une tribune ornée d'un bandeau pour l'intérieur. Ils ont été réalisés dans l’atelier Perrusson-Desfontaines implanté à Ecuisse en Saône-et-Loire. Les 18 vitraux sont de belle facture, commande unique réalisée par Lucien Bégule, peintre-verrier lyonnais. L'iconographie est régionale et locale, avec comme particularité, une saynète historiée sur la majorité des vitraux en soubassement. Dans la crypte, trois vitraux contemporains ont été réalisés et installés en 1986 par Claude Baillon de Millau. A noter que sur 24 chapiteaux, 12 sont sculptés, la finition de l'église n'ayant pas aboutie. Plusieurs éléments ont été protégés au titre des Monuments historiques à deux dates différentes : une cloche le 20 septembre 1943 et le 14 décembre 2000 : le tabernacle et l'autel de la chapelle Saint-Maurice, le tabernacle et l'autel de la chapelle de Marie, le tabernacle de la crypte, les stalles dans le chœur de l'église, une cloche posée au sol, une chasuble. Historique : Consacrée en 1892, l’église Saint-Maurice de Neuville-les-Dames fut édifiée pour remplacer l’église paroissiale jusqu’alors située au centre de la place du Chapitre. Datant du 12e siècle, cette dernière fut détruite car jugée trop exiguë et vétuste. Certains matériaux provenant de ce bâtiment ainsi que de l’église des chanoinesses détruite à la Révolution furent réemployés pour la construction du nouvel édifice (les marches en pierre, des bois de charpente en chêne, les stalles des chanoinesses visibles dans le chœur). L’orientation inversée (est-ouest) s’explique par la prise en compte de la déclivité du terrain, qui rendait difficile l’orientation ouest-est traditionnelle. L’architecte diocésain Tony Ferret, proposa un plan qui ménageait la réalisation d’une crypte sous le corps de l’édifice, susceptible de compenser la déclivité ci-dessus évoquée. Les plans de Tony Ferret acceptés, les travaux purent débuter en 1889, pour s’achever trois ans plus tard, permettant d’inscrire l’édifice dans son contexte topographique. Geolocalisation WGS84 : 46.1624985724538 - 5.002191066741943 Protection : Aucune Documentation : Lucien Charrin, Neuville les Dames des origines à nos jours, Regain, 1993 |
Chapelle, Sainte-Madeleine 7 vues Fiche édifice : 126 Commune : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Type : Chapelle Architecte : Curtelin Georges Autres intervenants : A. Senetère (entrepreneur), J. Coquet (peintre-verrier), J. Belloni et L. Bertola (sculpteurs), A. Cateland (orfèvre) Fonction : La chapelle est actuellement fermée, mais non désaffectée au culte. Datation : 1933,2e quart 20e siècle Description : La chapelle est un chef d'œuvre de l'Art déco. La façade principale tripartite (visible depuis le boulevard Paul Bert) traduit la division en trois nefs de la chapelle. Le portail se compose d'une table et d'une corniche, dominant une porte à double vantail à chambranle mouluré. Il est encadré de deux colonnes adossées au mur pignon, surmontées de globes et présentant un motif de trois stries horizontales (une des signatures de Georges Curtelin). Au-dessus, dans une large bordure moulurée, la rosace se compose d'un réseau géométrique. Cette dernière met en valeur la statue de la Vierge à l'Enfant en bronze (dessinée par Georges Curtelin, réalisée par Joseph Belloni et mise en place en 1958). Le portail et la rosace sont dans un ébrasement concave et en plein cintre. Sur toute la hauteur de la façade, se développe un ordre monumental de pilastres toscans sans base. Ils supportent un fronton interrompu sommé d'une croix en béton armé. Aux extrémités du mur-pignon, des départs de consoles assurent la transition avec l'élévation des bas-côtés. À l'arrière, le chevet comporte deux niveaux : les chapelles rayonnantes en partie basse et le chœur polygonal plus haut. Au niveau inférieur, les chapelles s'ouvrent par des portes précédées de perrons et encadrées de pilastres sans base ni chapiteau. L'architecture du chevet est assez épurée. Georges Curtelin géométrise le style gothique par l’utilisation de baies en arcs en mitre en brique. Cette partie est également ornementée de sept vitraux circulaires qui apportent de la lumière à l'intérieur du chœur. Sur la façade latérale au nord-est, on retrouve l'entrée empruntée par les religieuses. Elle est encadrée par des colonnes et un auvent en béton armé et surmontée d'un décor représentant la colombe du Saint-Esprit. Le mur pignon est sommé d'une petite croix carrée ajourée en béton armé également. La façade latérale donnant au nord-ouest est ouverte de deux petites portes, l’une ouvrant sur la sacristie et l’autre sur la chapelle de Saint Joseph. Le béton est l'un des matériaux privilégiés de l'Art déco et le clocher n'y échappe pas. Ce dernier a été pensé et imposé par la Mère supérieure de la congrégation. Mère Ambroise voulait un petit clocher octogonal fermé, décoré de colonnettes d'angles, ajouré par des claustras en ciment armé et surmonté d'une croix en fer forgé. Matériaux gros oeuvre : Pierre taillée,Brique,Béton Matériaux ouvertures : Brique,Béton Matériaux couvertures : Tuile mécanique Particularités : À l'intérieur, se trouve un lustre octogonal en fer forgé orné de 25 boules en verre crée par Georges Curtelin. Il est inscrit au titre d'objet à l'inventaire des Monuments Historiques. Historique : En 1826, l'asile pour aliénées, tenu par la congrégation des sœurs de Saint-Joseph de Bourg-en-Bresse, s'installe sur le site de la Madeleine. À l'origine, une simple chambre de l'établissement hospitalier fait office d'oratoire. La congrégation fait construire une première chapelle en 1828. À cette époque, le nombre de patientes est encore faible : moins d'une centaine de malades. Onze ans plus tard, ce nombre s'accroissant, une nouvelle chapelle est construite en 1839 sur l'emplacement actuel. À nouveau, ses dimensions ne sont pas adaptées aux nombres de malades. La Mère Angélique s'inquiète de l’étroitesse de la chapelle et surtout de son aspect qui, selon elle, n'est pas digne du Seigneur. Malheureusement, elle décède en 1902 et ne peut pas faire aboutir son projet. Ce n'est qu'en 1933 que Mère Ambroise donnera l’autorisation d'en construire une nouvelle. Pour mener à bien ce projet, la congrégation fait appel à Georges Curtelin, jeune architecte lyonnais, élève de Tony Garnier et reconnu en architecture religieuse. Le chantier débute en mai 1933 pour s’achever en juillet 1935. La construction est prévue en deux temps, car on ne peut pas interrompre la célébration du culte. L’abside, les chapelles rayonnantes et la croisée du transept sont réalisées en premier et achevées en 1934. Les offices ont lieu dans la nef d’origine. Dans un second temps, la nef et les bas-côtés sont reconstruits et la façade principale élargie. Les célébrations se déroulent alors dans le nouveau chœur. Georges Curtelin veut que chaque ornement soit strictement soumis à la liturgie, tout est réalisé uniquement en vue de la plus grande gloire de Dieu. Ainsi, les matériaux employés sont en matière noble : à l'intérieur de la chapelle on retrouve du marbre, chêne, fer forgé et bronze. Curtelin dresse non seulement les plans de l'édifice, mais aussi ceux des autels et de l'ornementation intérieure. Il est assisté du décorateur Jean Coquet, peintre-sculpteur, directeur de l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon, et d'artistes renommés comme Joseph Belloni. La chapelle est finalement consacrée en octobre 1935 par Mgr Maisonobe. En 1973, les sœurs cèdent l’ensemble de la propriété à l’ORSAC (organisation pour la santé et l’accueil). En 2001, le Département acquiert le site. La chapelle change à nouveau de main et devient propriété de la Ville de Bourg-en-Bresse en mars 2015. Labellisée « Patrimoine du 20e siècle » depuis 2012, elle est inscrite au titre des monuments historiques le 22 octobre 2013. Geolocalisation WGS84 : 46.202367922418134 - 5.219482183456421 Protection : Inscrit ISMH (inventaire supplémentaire des MH) 22-10-2013 Documentation : Agnès Bureau, Saint-Georges et Sainte-Madeleine, de l'asile à l'hôpital, Musnier-Gilbert, 1998, Médiathèque Roger Vailland, Bourg-en-Bresse / FL 505753; Monsieur le Chanoine Beau, Histoire des Soeurs de sainte Madeleine, 1950, Service patrimoine culturel de l'Ain / 18 HIS; Gilles Soubigou, In Situ Revue des patrimoines, Protéger une « œuvre d’art totale » au titre des monuments historiques : la chapelle Sainte-Madeleine , 2016, http://journals.openedition.org/insitu/13050; Initial Consultants, In Situ paysages et urbanisme, Bruno Morel, Dicobat, Etude patrimoniale et de programmation urbaine du site de la Madeleine, Ville de Bourg-en-Bresse, 2016, Service Patrimoine Culturel du Département de l'Ain |
1 vue Fiche objet musée : 94.07.02 Lieu : France Datation : 19e siècle Matière / technique : Vermeil, émail, Argent, Or Dimensions : Long. en cm : 20,5, larg. en cm : 5,8, Ep. en cm : 1,7 Description : Bracelet faisant partie d'une parure de 3 pièces. Large bracelet ajouré dont le motif central en rosace est composé d’une plaque ronde, avec 4 plaques rectangles puis 8 ovales. De part et d’autre de ce motif, 9 émaux ronds et ovales. Pourtour de chaque plaque polychrome en perles blanches. |
1 vue Fiche objet musée : 94.15.01 Lieu : France Datation : 19e siècle Matière / technique : Vermeil, émail, Argent, Or Dimensions : Long. en cm : 19,8, larg. en cm : 5,4, Ep. en cm : 1,8 Description : Large bracelet ajouré composé de 11 plaques ovales articulées autour d’une rosace centrale, elle-même composée de 13 plaques ovales polychromes (12 petites autour d’1 plus grande centrale). |
1 vue Fiche objet musée : 91.66.13 Lieu : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Auteur : Jacquemin, Robert Datation : 1991-2000 Matière / technique : Or, émail Dimensions : Long. en cm : 6,3, larg. en cm : 1,1, Ep. en cm : 1,1 Description : Broche en barrette, composée de 4 émaux triangulaires, 2 sur fond rouge et 2 sur fond blanc, accolés les uns aux autres avec une rosace en leur centre. |
1 vue Numéro de la fiche : 42 Légende : Pour ce concours, j'ai eu l'idée de faire un mélange de 2 églises de Bresse : Marboz et Saint-Etienne du Bois. Avec un logiciel d'images, j'ai récupéré des éléments de l'église de Marboz pour les replacer sur l'égl! ise de mon village à Saint-Etienne-du-Bois. J'ai voulu inverser des éléments qui représentent bien les différences architecturales : le toit, les fenêtres, les décors (rosace), et l'horloge. En faisant ce concours, j'ai découvert que l'horloge de Saint Etienne du Bois était placée sur le clocher par-dessus des petits volets en bois qui s'appellent des abat-sons. Avec cette métamorphose, l'Ain a un nouveau monument qu'on peut appeler "l'église de Marbois". Type de support : photo Format : Jpg, Couleur Taille ou durée : 340 ko Date de la prise de vue : 2018-03-17 Auteur : Maël Perdrix Etablissement scolaire : BOURG-EN-BRESSE - Collège du Revermont Nom du monument : Eglises de Marboz et de Saint-Etienne du Bois Commune : Saint-Étienne-du-Bois (Ain, France) Coordonnées Lambert : 827720, 2147318 Nombre de votes pour cette photo : 1 Année du concours : 2017/2018 Classement du jury : 12e ex aequo Classement des internautes : 44e |
Chapelle, "La Sereine", bâtiment 4 8 vues Fiche édifice : 142 Commune : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Type : Chapelle Architecte : Etienne Journoud, Charles Curtelin Autres intervenants : Eugène Chanut (entepreneur) Fonction : Depuis 2019, la chapelle est désacralisée. Dans la partie sud du transept se trouve l'aumônerie. La nef et le chœur sont transformés en salle pouvant accueillir des événements culturels et artistiques. Datation : 1886,4e quart 19e siècle Modifications : Aménagements du chevet (logements, cuisine, sanitaires). Description : La chapelle est d'un style néogothique épuré. Sur la façade principale, au-dessus de la porte, le tympan du portail est agrémenté de voussures en arc en plein-cintre et en arc brisé. Au niveau supérieur, se trouve la rosace entourée d'un entablement en arc brisé. Tous ces éléments architecturaux sont encadrés par deux pilastres surmontés d'un couronnement pyramidé. Ce dernier, ainsi que l'angle du pignon, est souligné par une corniche soutenue par des modillons. Le tout est orné d'une croix nimbée en pierre au sommet de la façade. Les façades aux extrémités du transept reprennent les motifs architecturaux de la façade principale mais de manière simplifiée. On retrouve le tympan et les voussures au-dessus de la porte, ainsi que l'entablement qui met en valeur les rosaces. Les pignons nord et sud ne sont pas décorés de modillons mais ils sont sommés de la croix nimbée comme à l'avant. À l'est, se trouve le chevet. Le haut de l’extérieur du chœur est visible et il est englobé par la partie circulaire qui accueille les anciens logements et la sacristie. La pierre de taille blanche est visible sur la façade principale, les contreforts, les encadrements des ouvertures, le chaînage d'angle et les motifs architecturaux en saillie. Le reste est recouvert d'un enduit. Matériaux couvertures : Ardoise Historique : En 1825, le dépôt de mendicité Saint-Lazare de Bourg-en-Bresse est administré par les frères de Saint-Jean-de-Dieu. Les bâtiments n'étant pas adaptés, les frères se trouvent rapidement dépassés par la tâche et ont de grosses difficultés d'organisation. Non loin, la congrégation des sœurs de Saint-Joseph tient remarquablement l'asile d'aliénées pour femme sur le site de la Madeleine. Le Conseil Général sollicite alors les sœurs pour reprendre la direction de Saint-Lazare en 1833. Le mauvais état sanitaire des lieux et l'augmentation de patients incitent Mère Saint-Claude, alors nommée supérieure, a faire acheter en 1855 la propriété de 78 hectares du Cuègre au nord de Bourg-en-Bresse. L'asile nouvellement construit prend le nom de Saint-Georges et devient en 1972 l'actuel Centre Psychothérapique de l'Ain (CPA). Les archives départementales de l'Ain conservent un plan de 1858 d'une chapelle dessinée par Louis Dupasquier. Il ne reste aucune trace de cette dernière. La chapelle toujours visible aujourd'hui date de 1886 et est l'oeuvre de l'architecte Etienne Journoud. Elle sert aux messes, baptêmes et mariages notamment pour les habitants de Viriat. En 1970, elle est touchée par un incendie qui détruit son clocher. Des traces de cet incident sont encore visibles dans les anciens logements. L'architecte Charles Curtelin est alors appelé pour reconstruire les parties endommagées mais également pour aménager des logements, sanitaires et cuisine dans la partie arrondie adossée au chevet primitif. Depuis le printemps 2019, la chapelle est désacralisée. La partie sud du transept sert d’aumônerie. La nef et le chœur sont transformés en salle pouvant accueillir des événements culturels et artistiques. Geolocalisation WGS84 : 46.22718702945804 - 5.236671121877441 Protection : Aucune Documentation : Charles Curtelin, Hôpital Saint Georges, chapelle, aménagement, 1971, Archives départementales / H-dépôt CPA 1498; Georges Curtelin, Etat des lieux, 1951, Archives départementales / H-dépôt CPA 1444; Eugène Chanut, Construction de la chapelle : devis, comptes des travaux exécutés, descriptions du projet d'achèvement, 1884-1888, Archives départementales / H-dépôt CPA 1500 |
1 vue Fiche objet musée : 95.34.01.2 Datation : 19e siècle Matière / technique : émail, Argent, Verre Dimensions : H en cm : 10,6, larg. en cm : 5,2, Ep. en cm : 1,8 Description : Broche à pampilles : rosace formée de 8 plaques rondes et ovales autour d’une plaque carrée avec 3 pampilles. |