Statue représentant la Vierge à l'Enfant de Joseph Belloni 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 7601 Lieu ou édifice : Site de La Madeleine Commune : Bourg-en-Bresse (Ain, France), Bourg-en-Bresse (Ain, France) Description : La chapelle Sainte-Madeleine de style Art Déco bénéficie d'une protection au titre des Monuments Historiques depuis le 22/10/2013 et est désormais propriété de la ville de Bourg-en-Bresse. A la demande des Religieuses en charge de l'hôpital psychiatrique Sainte-Madeleine, Joseph Belloni a sculpté une statue de la Vierge "présentant son enfant à tous les passagers de ce carrefour important". Elle trône au dessus de l'entrée principale de la chapelle côté rue. Type de support : photo Taille ou durée : 1541x3349 px 2 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2019-07-24 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 7561 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Romain Commune : Haut Valromey (Ain, France) Description : L'église Saint-Romain d'Hotonnes paraît antérieure au 14e siècle. Elle fut ensuite transformée à plusieurs reprises. Cette inscription gravée sur trouve le long de la montée d'escalier de l'entrée principale. Il y est inscrit : Tuf (?) reconstruit An 1821 et le clocher l'An 1820 Ad M. Dei Gloriam. Type de support : photo Taille ou durée : 2500x1918 px 3 Mo Format : jPeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2019-07-31 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 7043 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Germain Commune : Saint-Germain-de-Joux (Ain, France) Description : Placé près de l'entrée principale. Type de support : photo Taille ou durée : 2000x1811 px 2 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2018-10-08 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 6626 Lieu ou édifice : Grange Neuve Commune : Francheleins (Ain, France) Description : Il s'agit d'une imposante ferme en pisé à soubassement de pierres de plan carré. Elle est fermée par un mur élevé recouvert de tuiles. L'entrée principale se fait côté sud par une large et haute ouverture en briques à arcature en anse de panier débouchant sous un auvent . Ceci facilitait l'accès des "charrois" dombistes. Elle pourrait dater de la seconde moitié du 19e siècle. Type de support : photo Taille ou durée : 3000x2000 px 4 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2018-09-22 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Bénitier encastré placé à l'extérieur 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 8686 Lieu ou édifice : Eglise Sainte-Madeleine Commune : Pouillat (Ain, France) Description : A droite de l'entrée principale de l'église Sainte-Madeleine de Pouillat se trouve un bénitier d'applique ancien en partie cassé. Géolocalisation WGS84 : 46.330158 , 5.428133 Type de support : photo Taille ou durée : 3000x2000 px 4 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2021-06-08 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 6627 Lieu ou édifice : Grange Neuve Commune : Francheleins (Ain, France) Description : Il s'agit d'une imposante ferme en pisé à soubassement de pierres de plan carré. Elle est fermée par un mur élevé recouvert de tuiles. L'entrée principale se fait côté sud par une large et haute ouverture en briques à arcature en anse de panier débouchant sous un auvent . Ceci facilitait l'accès des "charrois" dombistes. Elle pourrait dater de la seconde moitié du 19e siècle. Type de support : photo Taille ou durée : 2000x3000 px 4 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2018-09-22 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Vue générale de l'intérieur depuis le choeur 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9248 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Cyr Commune : Saint-Cyr-sur-Menthon (Ain, France) Description : L'église Saint-Cyr de Saint-Cyr-sur-Menthon date de 1859. L'architecte lyonnais Joanny Farfouillon en établit les plans. Le curé desservant, Jean-Baptiste Bernard fut pour beaucoup dans le financement. L'église est de style néo-gothique. Contrairement aux usages, l’abside se trouve au sud et l’entrée principale au nord. Géolocalisation WGS84 : 46.274022 , 4.972629 Type de support : photo Taille ou durée : 1798x2500 px 2 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2023-12-15 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Stèle commémorative en hommage à Joseph Marie Martelin 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9307 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Jean-Baptiste Commune : Garnerans (Ain, France) Description : Contre la façade de l'église Saint-Jean-Baptiste de Garnerans se trouve deux stèles commémoratives de prêtres de part et d'autre de la porte d'entrée principale. Chaque partie haute est ornée de motifs décoratifs en relief en lien avec la prêtrise. Celle-ci commémore Joseph Marie Revel, né à Marboz en 1817 et décédé à Garnerans en 1902. Il fut curé de Garnerans de 1863 à 1902, soit durant 39 ans. Géolocalisation WGS84 : 46.205348 , 4.840658 Type de support : photo Taille ou durée : 892x2000 px 1 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2024-01-22 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 6624 Lieu ou édifice : Grange Neuve Commune : Francheleins (Ain, France) Description : Il s'agit d'une imposante ferme en pisé à soubassement de pierres de plan carré. Elle est fermée par un mur élevé recouvert de tuiles. L'entrée principale se fait côté sud par une large et haute ouverture en briques à arcature en anse de panier débouchant sous un auvent . Ceci facilitait l'accès des "charrois" dombistes. Elle pourrait dater de la seconde moitié du 19e siècle. Type de support : photo Taille ou durée : 3000x2000 px 4 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2018-09-22 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Stèle commémorative en hommage à Joseph Marie Revel 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9306 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Jean-Baptiste Commune : Garnerans (Ain, France) Description : Contre la façade de l'église Saint-Jean-Baptiste de Garnerans se trouve deux stèles commémoratives de prêtres de part et d'autre de la porte d'entrée principale. Chaque partie haute est ornée de motifs décoratifs en relief en lien avec la prêtrise. Celle-ci commémore Joseph Marie Revel, né à Marboz en 1817 et décédé à Garnerans en 1902. Il fut curé de Garnerans de 1863 à 1902, soit durant 39 ans. Géolocalisation WGS84 : 46.205348 , 4.840658 Type de support : photo Taille ou durée : 892x2000 px 1 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2024-01-22 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Vue générale de l'intérieur depuis le choeur 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9247 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Cyr Commune : Saint-Cyr-sur-Menthon (Ain, France) Description : L'église Saint-Cyr de Saint-Cyr-sur-Menthon date de 1859. L'architecte lyonnais Joanny Farfouillon en établit les plans. Le curé desservant, Jean-Baptiste Bernard fut pour beaucoup dans le financement. L'église est de style néo-gothique. Contrairement aux usages, l’abside se trouve au sud et l’entrée principale au nord. Géolocalisation WGS84 : 46.274022 , 4.972629 Type de support : photo Taille ou durée : 2500X1694 px 2 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2023-12-15 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Vue sur l'abside et le presbytère depuis le cimetière 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9245 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Cyr Commune : Saint-Cyr-sur-Menthon (Ain, France) Description : L'église Saint-Cyr de Saint-Cyr-sur-Menthon date de 1859. L'architecte lyonnais Joanny Farfouillon en établit les plans. Le curé desservant, Jean-Baptiste Bernard fut pour beaucoup dans le financement. L'église est de style néo-gothique. Contrairement aux usages, l’abside se trouve au sud et l’entrée principale au nord. Géolocalisation WGS84 : 46.274022 , 4.972629 Type de support : photo Taille ou durée : 3000X1875 px 3 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2023-12-15 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9246 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Cyr Commune : Saint-Cyr-sur-Menthon (Ain, France) Description : L'église Saint-Cyr de Saint-Cyr-sur-Menthon date de 1859. L'architecte lyonnais Joanny Farfouillon en établit les plans. Le curé desservant, Jean-Baptiste Bernard fut pour beaucoup dans le financement. L'église est de style néo-gothique. Contrairement aux usages, l’abside se trouve au sud et l’entrée principale au nord. Géolocalisation WGS84 : 46.274022 , 4.972629 Type de support : photo Taille ou durée : 2000X3000 px 3 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2023-12-15 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Vue sur l'abside depuis le cimetière 1 vue Fiche photothèque/audio/vidéo : 9244 Lieu ou édifice : Eglise Saint-Cyr Commune : Saint-Cyr-sur-Menthon (Ain, France) Description : L'église Saint-Cyr de Saint-Cyr-sur-Menthon date de 1859. L'architecte lyonnais Joanny Farfouillon en établit les plans. Le curé desservant, Jean-Baptiste Bernard fut pour beaucoup dans le financement. L'église est de style néo-gothique. Contrairement aux usages, l’abside se trouve au sud et l’entrée principale au nord. Géolocalisation WGS84 : 46.274022 , 4.972629 Type de support : photo Taille ou durée : 1990X2000 px 2 Mo Format : Jpeg 350 dpi, Couleur Date de prise de vue : 2023-12-15 Auteur : Département de l'Ain / N. Prost |
Edifice administratif, Bâtiment 13, école de formation des infirmiers 9 vues Fiche édifice : 136 Commune : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Type : Etablissement de soins Architecte : Charles Curtelin Autres intervenants : entreprise Giraud (ingénieurs), entreprise Welter (thermiciens), entreprise Barberot (entrepreneurs, maçons) Fonction : Ce bâtiment a une fonction administrative. Datation : 1970,3e quart 20e siècle Description : Cet immeuble discret et sobre de forme carrée se compose de quatre faces de taille identique où les éléments architecturaux se répètent. Il est doté d'un système ingénieux de stores amovibles. L'entrée peut se faire à trois endroits différents : l'entrée principale à l'est et deux autres secondaires au nord et au sud. Le béton, matériau privilégié du 20e siècle, est omniprésent sur cet édifice. Les touches de bleu autour des fenêtres dynamisent l'ensemble. À l'intérieur se trouve un patio, élément typique de l'architecture fonctionnaliste, qui permet d'apporter de la luminosité et de la végétation. Enfin, au sous-sol, la lumière entre grâce à la surélévation du bâtiment et des vasistas à châssis abattant. Matériaux gros oeuvre : Béton Matériaux ouvertures : Béton Matériaux couvertures : Tôle Historique : En 1826, un asile d'aliénées, confié à la congrégation des sœurs de Saint-Joseph, s'installe sur le site de la Madeleine. Tout au long du 19e siècle, la congrégation doit faire face à un nombre toujours plus important de patientes. Ainsi, de 1828 à 1898, elle multiplie les constructions : loges, première chapelle, Saint-Joseph (détruit en 2021), Saint-Raphaël, Sainte-Anne, le "Château" Sainte-Marie, Sainte-Thérèse et Saint-Antoine, etc. Ces édifices, pour la plupart construits en périphérie du site, suivent tous le même style d'architecture en moellon de pierre dorée avec chaînage d'angle en pierre calcaire taillée. Dans cette cohérence, deux bâtiments se démarquent par leur architecture typique du 20e siècle : la chapelle construite par Georges Curtelin en 1934 et le bâtiment 13 pensé par son fils, Charles Curtelin, qui voit le jour en 1970. Ce dernier est commandé par les sœurs de Saint-Joseph pour y installer leur administration ainsi que leurs archives au sous-sol. Le bâtiment doit être à la fois signifiant puisqu'il abrite une administration, mais également discret du fait de sa position centrale dans le parc, en face de l'imposant "Château" et son ensemble paysager. En 1972, la congrégation cède l'hôpital à l’Organisation pour la santé et l’accueil (ORSAC). Lorsque que la direction générale est transférée à l'asile Saint-Georges, le bâtiment administratif perd sa fonction. Il devient pendant un temps un service de consultation d'enfants et fait office d'hôpital de jour. Il abrite également, durant près de 20 ans, l’école de formation des infirmiers. Ce "centre de formation du personnel soignant de secteur psychiatrique" devient en 1992 "l'institut de soins infirmiers". En 2000, l'hôpital quitte le site de la Madeleine, ses services sont transférés dans d'autres établissements, principalement à Saint-Georges. Le Département de l'Ain et la Ville de Bourg-en-Bresse deviennent propriétaires des lieux. Aujourd'hui le bâtiment 13 a retrouvé sa fonction initiale d'administration puisqu'il accueille des services du Département. Geolocalisation WGS84 : 46.2016300135968 - 5.2172013277159435 Protection : Aucune Documentation : Agnès Bureau, Saint-Georges et Sainte-Madeleine, de l'asile à l'hôpital, 171, Musnier-Gilbert, 1998, Médiathèque Roger Vailland, Bourg-en-Bresse / FL 505753; Initial Consultants, In Situ paysages et urbanisme, Bruno Morel, Dicobat, Etude patrimoniale et de programmation urbaine du site de la Madeleine, Ville de Bourg-en-Bresse, 2016, Service Patrimoine Culturel du Département de l'Ain |
Chapelle, "La Sereine", bâtiment 4 8 vues Fiche édifice : 142 Commune : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Type : Chapelle Architecte : Etienne Journoud, Charles Curtelin Autres intervenants : Eugène Chanut (entepreneur) Fonction : Depuis 2019, la chapelle est désacralisée. Dans la partie sud du transept se trouve l'aumônerie. La nef et le chœur sont transformés en salle pouvant accueillir des événements culturels et artistiques. Datation : 1886,4e quart 19e siècle Modifications : Aménagements du chevet (logements, cuisine, sanitaires). Description : La chapelle est d'un style néogothique épuré. Sur la façade principale, au-dessus de la porte, le tympan du portail est agrémenté de voussures en arc en plein-cintre et en arc brisé. Au niveau supérieur, se trouve la rosace entourée d'un entablement en arc brisé. Tous ces éléments architecturaux sont encadrés par deux pilastres surmontés d'un couronnement pyramidé. Ce dernier, ainsi que l'angle du pignon, est souligné par une corniche soutenue par des modillons. Le tout est orné d'une croix nimbée en pierre au sommet de la façade. Les façades aux extrémités du transept reprennent les motifs architecturaux de la façade principale mais de manière simplifiée. On retrouve le tympan et les voussures au-dessus de la porte, ainsi que l'entablement qui met en valeur les rosaces. Les pignons nord et sud ne sont pas décorés de modillons mais ils sont sommés de la croix nimbée comme à l'avant. À l'est, se trouve le chevet. Le haut de l’extérieur du chœur est visible et il est englobé par la partie circulaire qui accueille les anciens logements et la sacristie. La pierre de taille blanche est visible sur la façade principale, les contreforts, les encadrements des ouvertures, le chaînage d'angle et les motifs architecturaux en saillie. Le reste est recouvert d'un enduit. Matériaux couvertures : Ardoise Historique : En 1825, le dépôt de mendicité Saint-Lazare de Bourg-en-Bresse est administré par les frères de Saint-Jean-de-Dieu. Les bâtiments n'étant pas adaptés, les frères se trouvent rapidement dépassés par la tâche et ont de grosses difficultés d'organisation. Non loin, la congrégation des sœurs de Saint-Joseph tient remarquablement l'asile d'aliénées pour femme sur le site de la Madeleine. Le Conseil Général sollicite alors les sœurs pour reprendre la direction de Saint-Lazare en 1833. Le mauvais état sanitaire des lieux et l'augmentation de patients incitent Mère Saint-Claude, alors nommée supérieure, a faire acheter en 1855 la propriété de 78 hectares du Cuègre au nord de Bourg-en-Bresse. L'asile nouvellement construit prend le nom de Saint-Georges et devient en 1972 l'actuel Centre Psychothérapique de l'Ain (CPA). Les archives départementales de l'Ain conservent un plan de 1858 d'une chapelle dessinée par Louis Dupasquier. Il ne reste aucune trace de cette dernière. La chapelle toujours visible aujourd'hui date de 1886 et est l'oeuvre de l'architecte Etienne Journoud. Elle sert aux messes, baptêmes et mariages notamment pour les habitants de Viriat. En 1970, elle est touchée par un incendie qui détruit son clocher. Des traces de cet incident sont encore visibles dans les anciens logements. L'architecte Charles Curtelin est alors appelé pour reconstruire les parties endommagées mais également pour aménager des logements, sanitaires et cuisine dans la partie arrondie adossée au chevet primitif. Depuis le printemps 2019, la chapelle est désacralisée. La partie sud du transept sert d’aumônerie. La nef et le chœur sont transformés en salle pouvant accueillir des événements culturels et artistiques. Geolocalisation WGS84 : 46.22718702945804 - 5.236671121877441 Protection : Aucune Documentation : Charles Curtelin, Hôpital Saint Georges, chapelle, aménagement, 1971, Archives départementales / H-dépôt CPA 1498; Georges Curtelin, Etat des lieux, 1951, Archives départementales / H-dépôt CPA 1444; Eugène Chanut, Construction de la chapelle : devis, comptes des travaux exécutés, descriptions du projet d'achèvement, 1884-1888, Archives départementales / H-dépôt CPA 1500 |
1 vue Fiche objet : 1OM1184 Edifice : église, de la Nativité de la sainte Vierge ; Saint André Commune : Ferney-Voltaire (Ain, France) Datation : 2e quart 19e siècle Auteur : Pollet Jean-Marie Mesures (en cm. / en g.) : h = 250 ; la = 320 ; pr = 105 Matière : bois ; bois : doré Description : La paire de confessionnaux de l'église de Ferney-Voltaire a été réalisée selon un dessin de l'architecte lyonnais Jean-Marie Pollet, à l'origine des plans de l'église, aux alentours de 1825. En bois agrémentés de motifs dorés, ils sont placés de part et d'autre de l'entrée principale. Monuments Historiques : classé au titre objet 17/08/1994 |
Edifice hospitalier, Château Saint-Claude, bâtiment 6 9 vues Fiche édifice : 135 Commune : Bourg-en-Bresse (Ain, France) Rédacteur de la notice : Jacquemont Muriel Type : Hôpital Fonction : Le bâtiment sera détruit courant 2021. Datation : 1893,4e quart 19e siècle Description : Le bâtiment se compose d'un corps central bordé de deux pavillons, le tout construit en pierre de taille en simple appareil et recouvert d'un enduit. L'ensemble s'étend sur six niveaux incluant un sous-sol et des combles. Onze travées de fenêtres fermées par des grilles en fer forgé rythment les façades. Chaque ligne de fenêtres se termine par une lucarne au niveau des combles. Le centre de la façade principale, tournée vers l'est, est en légère saillie marquant la présence, à l'intérieur, de l'escalier central desservant tous les étages. Celle de l'ouest est agrémentée d'une loggia qui relie les deux pavillons et donne sur le parc. Cette loggia est l'élément le plus remarquable du bâtiment. Elle a gardé ses décors d'origine dont les carreaux à motifs floraux, la colonnade en fer forgé de style antique avec balustrade, une grille en fer forgé avec motifs SG (Saint Georges) entrelacés, une bouche de gouttière en forme de monstre marin, des grilles en fer forgé pour les fenêtres du sous-sol. La superficie de chaque niveau est de 917 m². Le jardin d'agrément conserve toujours son aspect primitif avec son allée de promenade et ses arbres remarquables. Le mur d'enceinte est encore visible sur sa plus grande longueur avec la loge de gardien à l'entrée principale. Matériaux gros oeuvre : Pierre non taillée,Pierre taillée Matériaux ouvertures : Pierre taillée Matériaux couvertures : Ardoise Historique : Parallèlement à l'installation de l'asile d'aliénés pour femmes sur le site de la Madeleine, l'ordre des frères de Saint-Jean-de-Dieu prend en charge les hommes dans la maison dite "de Saint-Lazare". Mais les bâtiments ne conviennent pas au nombre de patients et à leurs soins. Les frères sont dépassés par la tâche et ont de grosses difficultés d'organisation. Les sœurs de Saint-Joseph qui gèrent l'asile de la Madeleine sont donc sollicitées pour prendre en charge les hommes sur le site de Saint-Lazare. La congrégation accepte et Mère Saint-Claude est nommée supérieure de la maison. L'approbation du ministère de l'Intérieur est donnée le 1er octobre 1833. Les malades étant de plus en plus nombreux, elle propose aux autorités de faire construire un nouvel établissement. En 1855, la congrégation achète des terrains au hameau de Cuègre, au nord de Bourg-en-Bresse. Les premiers bâtiments, tels que les Grands Quartiers, sortent de terre l'année suivante. Ils sont organisés par quartiers selon les pathologies (agités, malpropres, épileptiques, tranquilles, etc.). Une distinction est faite également entre les aliénés du régime commun et ceux au compte des familles. Pour améliorer le fonctionnement de l'asile, il est décidé en 1893 de faire construire le pavillon Saint-Claude destiné à l'accueil des patients aisés. Achevé en 1896, il est luxueux, spacieux et peut accueillir une centaine de personnes. Le rez de chaussée est occupé par de beaux salons, salle de billard et salles à manger. Les trois étages sont destinés aux chambres et dortoirs. Le niveau de confort dépend de la classe du pensionnaire. Celui de la première classe peut emménager à Saint-Claude avec son domestique qui aura sa propre chambre à côté de la sienne. L'évolution des soins et de l’accueil des patients a entraîné une forte modification de l'aménagement intérieur dans les années 1950 et 1970. Les architectes Georges et Charles Curtelin, père et fils, sont en charge des projets tant sur le site de Saint-Georges que celui de la Madeleine. Ce bâtiment conserve son aspect et son volume extérieur du 19e siècle avec tous ses décors. Bien qu'il soit un des témoins marquants de l'évolution architecturale hospitalière, il doit être détruit courant 2021. Geolocalisation WGS84 : 46.22946085889164 - 5.234837830066681 Protection : Aucune Documentation : Agnès Bureau, Saint-Georges et Sainte-Madeleine, de l'asile à l'hôpital, Musnier-Gilbert, 1998, Médiathèque Roger Vailland, Bourg-en-Bresse / FL 505753; Georges Curtelin, Maison Saint-Georges, bâtiment Saint-Claude, Plans, 1952, Archives départementales de l'Ain / Hôpital Saint-Georges H-dépôt CPA 1472; Georges Curtelin, Maison Saint-Georges, Bâtiment Saint-Claude, façade et coupe, 1952, Archives départementales de l'Ain / Hôpital Saint Georges H-dépôt CPA 1473; Rapports annuels, 1893,1894, 1895, 1896, Archives départementales de l'Ain / Hôpital Saint-Georges H-dépôt CPA 1268 |
15 vues Fiche édifice : 116 Commune : Neuville-les-Dames (Ain, France) Rédacteur de la notice : vigier thierry Type : Eglise paroissiale Architecte : Ferret Antoine (Tony) Autres intervenants : Mandy André Antoine (entrepreneur), Bégule Lucien (peintre-verrier), Perrusson et Desfontaines (céramistes) Fonction : Ce bâtiment a une fonction cultuelle, utilisé pour tous les offices religieux, et culturelle lors de concerts et autres manifestations (visites commentées du bâtiment, des vitraux, des céramiques) en complémentarité du patrimoine du village. La crypte sert de lieu de culte, l'hiver. Il existe trois salles de réunions pour différentes activités : chorale, atelier rénovation des statues, et une chaufferie. Datation : 1889,4e quart 19e siècle Description : Eglise de style néo-roman, orientée est/ouest, construite en partie sur une crypte pour compenser le dénivelé du terrain. Des pierres d'origine différente constituent cet édifice en croix latine avec transept inscrit. Une nef centrale, deux nefs latérales et trois tourelles complètent cette construction, ainsi qu'un clocher porche comportant deux horloges en céramique Perrusson et Desfontaines. De plus, 96 céramiques proviennent de la même fabrique et 18 vitraux de Lucien Bégule ornent cet édifice. Dans la crypte, 3 vitraux contemporains de 1983 ont été réalisés par le peintre verrier Claude Baillon. Précisions sur les dimensions de l'église : hauteur à l'avant = 15,70 m hors clocher, à l'arrière 22 m ; hauteur à l'intérieur du transept = 11,70 m, nef centrale = 12,70 m, nef latérale = 7,70 m, chœur = 11,70 m. L'abside présente un diamètre de 7 m. Matériaux gros oeuvre : Pierre non taillée,Pierre taillée,Métal,Brique,Bois Matériaux ouvertures : Pierre non taillée,Pierre taillée Matériaux couvertures : Tuile plate,Ardoise Particularités : Les éléments en céramique sont : les deux horloges, les fleurs de lys et 28 métopes pour l'extérieur ; 68 métopes et rosaces et une tribune ornée d'un bandeau pour l'intérieur. Ils ont été réalisés dans l’atelier Perrusson-Desfontaines implanté à Ecuisse en Saône-et-Loire. Les 18 vitraux sont de belle facture, commande unique réalisée par Lucien Bégule, peintre-verrier lyonnais. L'iconographie est régionale et locale, avec comme particularité, une saynète historiée sur la majorité des vitraux en soubassement. Dans la crypte, trois vitraux contemporains ont été réalisés et installés en 1986 par Claude Baillon de Millau. A noter que sur 24 chapiteaux, 12 sont sculptés, la finition de l'église n'ayant pas aboutie. Plusieurs éléments ont été protégés au titre des Monuments historiques à deux dates différentes : une cloche le 20 septembre 1943 et le 14 décembre 2000 : le tabernacle et l'autel de la chapelle Saint-Maurice, le tabernacle et l'autel de la chapelle de Marie, le tabernacle de la crypte, les stalles dans le chœur de l'église, une cloche posée au sol, une chasuble. Historique : Consacrée en 1892, l’église Saint-Maurice de Neuville-les-Dames fut édifiée pour remplacer l’église paroissiale jusqu’alors située au centre de la place du Chapitre. Datant du 12e siècle, cette dernière fut détruite car jugée trop exiguë et vétuste. Certains matériaux provenant de ce bâtiment ainsi que de l’église des chanoinesses détruite à la Révolution furent réemployés pour la construction du nouvel édifice (les marches en pierre, des bois de charpente en chêne, les stalles des chanoinesses visibles dans le chœur). L’orientation inversée (est-ouest) s’explique par la prise en compte de la déclivité du terrain, qui rendait difficile l’orientation ouest-est traditionnelle. L’architecte diocésain Tony Ferret, proposa un plan qui ménageait la réalisation d’une crypte sous le corps de l’édifice, susceptible de compenser la déclivité ci-dessus évoquée. Les plans de Tony Ferret acceptés, les travaux purent débuter en 1889, pour s’achever trois ans plus tard, permettant d’inscrire l’édifice dans son contexte topographique. Geolocalisation WGS84 : 46.1624985724538 - 5.002191066741943 Protection : Aucune Documentation : Lucien Charrin, Neuville les Dames des origines à nos jours, Regain, 1993 |
4 vues Fiche édifice : 35 Commune : Crottet (Ain, France) Rédacteur de la notice : Poncin Georges (Histoire et patrimoine) Type : Cimetière Fonction : Terrain dédié aux sépultures. Datation : 1804,1er quart 19e siècle Modifications : Agrandissement à l'est, sur une surface de 35 ares. Description : Cimetière d'une surface approximative de 4 080 mètres carrés, situé à l'est de l'église, fermé par une murette et un portail d'accès côté église. Matériaux gros oeuvre : Pierre non taillée,Béton Matériaux ouvertures : Béton Historique : A l'origine, le cimetière était implanté autour de l'église. Il existait deux cimetières privatifs clos par des murets, appartenant aux familles de Freminville (Château de l'Aumusse) et Berthet de Roussas (Château de Genod). En état d'abandon, ces emplacements ont été relevés dans les années 1970. La mise en application d'une loi de 1804 interdisant les inhumations dans les églises et imposant une distance d'au moins 35 mètres des habitations, se traduit par la délocalisation à l'est de l'édifice. Une extension est réalisée en 1922 pour faire face à l'accroissement de la population et aux difficultés de renouvellement des concessions. Entre l'église et le cimetière, il y avait autrefois des concessions perpétuelles privatives. Maintenant le columbarium et le jardin du souvenir occupent cet emplacement. Il subsiste une tombe en concession perpétuelle, toujours entretenue. Geolocalisation WGS84 : 46.27813143098382 - 4.8940054181730375 Protection : Aucune Documentation : Poncin Georges, Crottet au fil du temps n° 2, 23-25, 2017, Bibliothèque de Crottet - cote 944.583 CRO FL; Archives départementales de l'Ain, Projet d'agrandissement du cimetière, AD01 2 O 13 |